Les spectacles

Voir nos élèves sur scène !

En plus des spectacles présentés en cours d’année par les élèves, l’École du Lucernaire offre la possibilité à certains, à l’issue des deux années de formation, de jouer dans un spectacle proposé dans la programmation officielle du Lucernaire.

La première promotion du Lucernaire a présenté tout l’été 2017 (62 dates) : Le DINDON de Georges Feydeau. Mise en scène : Florence Le Corre et Philippe Person

La deuxième promotion a présenté tout l’été 2018 (59 dates) : LE SONGE D’UNE NUIT D’ÉTÉ de William Shakespeare adapté par Philippe Person et mis en scène par Florence Le Corre et Philippe Person

La troisième promotion du Lucernaire a présenté tout l’été 2019 (53 dates) LE BOURGEOIS GENTILHOMME de Molière, adapté par Philippe Person et mis en scène par Florence Le Corre et Philippe Person.

La sixième promotion du Lucernaire a présenté tout l’été 2022 et à la rentrée (81 dates) LE MALADE IMAGINAIRE de Molière, adapté par Philippe Person et mis en scène par Florence Le Corre et Philippe Person.

La septième promotion du Lucernaire a présenté tout l’été 2023 (50 dates) LE MARIAGE DE FIGARO de Beaumarchais, adapté par Philippe Person et mis en scène par Florence Le Corre et Philippe Person.

Ces cinq spectacles ont conquis le nombreux public du Lucernaire et la presse.


2023 – LE MARIAGE DE FIGARO de Beaumarchais

Au Théâtre du Lucernaire du 14 Juin au 20 août, du mercredi au samedi à 20h et le dimanche à 17h.

Adaptation : Philippe PERSON
Mise en scène : Florence LE CORRE et Philippe PERSON assistés de Judith LEDER et Tom BOUCHARDON
Décor : Vincent BLOT
Lumières : Tom BOUCHARDON

Avec en alternance : Lauris AUDAT, Urielle BOURDELLE, Jade BRUN, Emma DECHAMP, Matéo DEMURTAS, Jules GARDIENNET, Nicolas HARDOUIN, Maud LAMY, Marine LEGROS, Giulia LISI, Era MALAJ, Franck MELAGA et Bastien WASSER.

Galerie photo :

Extraits de presse :

La dernière promotion défend cette année durant presque deux mois le Beaumarchais adapté par Person. Avec force. Les bonnes surprises sont nombreuses. Urielle Bourdelle interprète une Suzanne vivante et authentique. Marine Legros est espiègle et évanescente en Marcelline. Mateo Demurtas est un Figaro très méritant tandis que Jules Gardiennet sait déjà enrôler ses multiples talents d’acteur. Emma Dechamp, Nicolas Hardouin et Lauris Audat finissent de donner à la troupe une excellence de jeu et une dynamique qui fait le show. Un bravo appuyé à Era Malaj ; elle est formidable ;elle a déjà tout d’une grande.
David Rofé Serfati – Toute la culture

La plus célèbre des comédies de Beaumarchais, critique acerbe des privilèges de l’aristocratie, se métamorphose soudain en farce ! C’est en tout cas ainsi que l’ont voulu les metteurs en scène Florence Le Corre et Philippe Person, ce dernier signant une adaptation raccourcie mais astucieuse du Mariage de Figaro. Quiproquos, intrigues amoureuses et fameux bons mots sont toujours de la partie et le collectif La Folle Journée, composé de jeunes apprentis comédiens, s’en donne à cœur joie pour amuser le public. La troupe sert joyeusement le texte y ajoutant une touche de modernité bienvenue. Parfois déjanté, souvent musical, le spectacle prend de nouvelles couleurs et réjouit petits et grands qui suivent, hilares, les aventures de l’espiègle valet face à son séducteur de maître.
Laurence Caracalla – Figaro Magazine

Entre la comédie de mœurs et le drame bourgeois, Philippe Person et Florence Le Corre ont fait leur choix en orientant Le Mariage de Figaro du côté de la première plutôt que du second. Sur le plateau du théâtre Noir, les deux metteurs en scène poussent en effet les feux de la mécanique comique savamment huilée par Beaumarchais. Alors que la célébration des noces entre valet du comte Almaviva et la camériste de la comtesse, Suzanne, s’annonçait heureuse, tout se met, sous la pression de corps et des cœurs, à dérailler. Jade BRUN et Matéo DEMURTAS en tête, les jeunes comédiens de la septième promotion de l’école d’art dramatique du Lucernaire font preuve d’un bel engagement pour donner relief et caractère à la kyrielle de personnages de cette Folle Journée et la transformer en un moment de théâtre tout à la fois drôle et haletant.
Vincent Bouquet – Télérama [T]


2022 – LE MALADE IMAGINAIRE de Molière

Au Théâtre du Lucernaire du 29 Juin au 9 octobre, du mercredi au samedi à 18h30 et le dimanche à 15h jusqu’au 28 août puis du mardi au samedi à 20h et le dimanche à 17h jusqu’au 9 octobre.

Adaptation : Philippe PERSON
Mise en scène : Florence LE CORRE et Philippe PERSON assistés de Tom BOUCHARDON
Décor : Vincent BLOT
Lumières : Tom BOUCHARDON et Alexandre VARETTE

Avec en alternance : Léo PENTECÔTE, Grégory DUTOIT, Violette GRIMAUD, Marie VONO, Juliette SIROU, Tamara LASCAR, Inès MANGLANO, Nina CARRET, Romane LE ROY, Léa DUMONT, Kelly JEHANNO, Léo BARROS JONES, Guillaume GHOSTINE-MATTA, Adonide EVESQUE, Bastien WASSER.

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2019 – LE BOURGEOIS GENTILHOMME de Molière

Au Théâtre du Lucernaire du 12 Juin au 11 août, du mercredi au samedi à 20h et le dimanche à 17h.

Adaptation : Philippe PERSON
Mise en scène : Florence LE CORRE et Philippe PERSON
Décor : Vincent BLOT
Lumières : Dan IMBERT

Avec en alternance : Louise DELILEZ, Juliette DERKX, Dominika DOBROCKA, Anatole FOLLENFANT, Yoann FOISSY, Cécilia GERARD-HIRNE, Jennifer GUILLET, Jeanne GUINEBRETIERE, Anna KOBAKHIDZE, Marine LECARPENTIER, Judith LEDER, Jérémy LEITAO, Jeanne PERNEY, Arthur RADIGUET, Elie ROFE, Maria SOMBRIN, Mateo TROIANOVSKI, Charlotte TRONCHON, Judith VOQUER.

Galerie photo :

Extraits de presse :

Ce n’est peut-être pas la plus connu des écoles de formation mais l’École d’art dramatique du Lucernaire est l’une des meilleures. Témoin cette version, pour l’essentiel, aussi créative que respectueuse du Bourgeois Gentilhomme.
Culture Tops

Les élèves de l’École du Lucernaire ont l’obligation de faire leur preuve dès leur sortie de l’École : l’une des scènes du Lucernaire leur est confiée, ils doivent y jouer leur premier spectacle professionnel pendant deux mois et demi. Aucune autre école n’impose une aussi délicieuse contrainte ! Ce sont leurs directeurs-metteurs en scène qui choisissent la pièce. Cet été, ils ont choisi Le Bourgeois Gentilhomme de Molière …. Anna Kobakhidze compose une Dorimène joliment givrée qui est un peu le symbole de cette mise en scène : la drôlerie satirique de Molière est bien là, mais mêlée à une humeur burlesque qui surgit en à-coups et en accélérations. Tous les acteurs sont dans ce juste cocktail de respect et de folie douce. Une bien convaincante façon de s’accaparer un classique.
Gilles Costaz – Webthea

Le spectacle se constitue d’une suite d’escarmouches de mots : il est une farce « à la guignol » où un bouffon, Covielle, va orchestrer l’hilarante pantalonnade. Les costumes farfelus imaginés par Florence Le Corre participent à l’amusement. Le sol en damier rappelle la consigne : nous sommes là pour un jeu, pour un divertissement à partager. Les deux metteurs en scène bâtissent un joyeux affrontement vaudevillesque mené tambour battant. On saute, on court, on rampe dans cette espièglerie enjouée.
David Rofé Serfati – Toute la culture

Une belle soirée qui passe trop vite. De jeunes et prometteurs comédiens s’emparent à bras le corps d’un classique et rendent un bel hommage à Molière. Matéo Troianovski m’a enthousiasmé. Avec une irréprochable justesse, une technique et une palette de jeu déjà épatants, il incarne deux rôles et demi : Le maître d’armes, Cléonte et Cléonte déguisé en Grand Turc.
Yves Poey – De la cour au jardin

Une bonne mise en scène, des trouvailles intéressantes, un décor sobre mais efficace, une équipe de jeunes comédiens particulièrement affutés et dynamiques. Un Monsieur Jourdain, excellent dans son rôle de sot au sourire béat, heureux de se faire plumer sans vergogne, font de cette version, une très jolie réussite.
Patrick Rouet – Reg arts


2018 – LE SONGE D’UNE NUIT D’ÉTÉ de William Shakespeare

Adaptation : Philippe PERSON
Mise en scène : Florence LE CORRE et Philippe PERSON
Décor : Vincent BLOT
Lumières : Alexandre DUJARDIN

Avec en alternance : Léonard BALLESTEROS, Lucas BOTTINI, Jordan BRANDAO RODRIGUES, Cindy DEL SALTO VITERY, Florian EDET, Elena EL GHAOUI, Bénédicte FANTIN, Elodie FISCHLENSKI, Manon HINCKER, Florine LELEU, Angeliqua LOUIS, Thomas MODESTE, Juliette RAMIREZ, Alice SERFATI, Lolilla SIOURD.

Galerie photo :

Extraits de presse :

C’est un véritable exploit que d’avoir concentré autant de vie théâtrale, d’événements, de douceur et de violence dans un espace-temps aussi resserré. Léonard Ballesteros, Lucas Bottini, Jordan Brandao Rodrigues, Cindy del Salto Vitery, Florian Edet, Eléna El Ghaoui, Elodie Fischlenski, Manon Hincker, Florine Leleu, Angéliqua Louis, Thomas Modeste et Lolilla Siourd ont d’évidentes personnalités. Leur prestation est brillante. Leur spectacle, dans la mise en scène joyeusement sensuelle de Florence Le Corre et Philippe Person, n’épuise pas toutes les richesses de la pièce (il n’en a pas l’intention, il est modeste et ambitieux à la fois) mais il est d’un charme fou.
Gilles Costaz – Webtheatre

Jordan Brandao Rodrigues : impeccable dans le rôle du roi Obéron
Joëlle Gayot – Télérama

La danse du prologue chauffe la salle autant que les comédiens et insuffle les premiers sourires inauguraux des multiples éclats de rire à venir. Les comédiens de la promotion 2018 de l’école d’art dramatique déploient leur talent tout neuf dans un rythme soutenu et une contagieuse énergie. Leonard Ballesteros sourire en coin et Thomas Modeste dans une incarnation du play-boy ne quittent jamais la force comique de leur personnage respectif Demetrius et Lysandre. Bénédicte Fantin (Helena) a un immense talent et traverse admirablement les aléas de l’intrigue et ce dont ils sont responsables dans l’évolution de son personnage. Lucas Bottini réussit un Puk sautillant et attachant qui marque l’histoire du rôle. Jordan Brendao Rodrigues crée un Obéron magistral à la belle présence sur le plateau. Alice Serfati est une magnétique Hermia tandis que Juliette Ramirez défend une Titiana en flamboyante maîtresse femme. Nos bravos aussi à Élodie Fischlenski, Angélica Louis et à Manon Hincker, comédienne et musicienne, responsable d’une androgyne Lecoin hilarante. Tandis que Florian Edet assure parfaitement la pompe du Duc à l’autorité magistrale, mais attaquée. Ainsi avec une troupe au grand cœur, cette adaptation réduite d’une heure met à nu le corps du texte et le geste de Shakespeare pour une comédie simplement désopilante.
David Rofé-Sarfati – Toute la culture.

Ce spectacle est le fruit de l’école d’art dramatique du Lucernaire née en 2015. Les douze protagonistes, sont les élèves qui durant deux ans ont appris le métier, avant d’être lancés sur les planches. Au vu du spectacle on peut juger de la qualité de l’enseignement. Ces jeunes comédiens entrent dans la carrière du bon pied, avec pour viatique une pièce du grand Shakespeare. Un spectacle, exempt de vulgarité, mais pas de gaillardise, apte pour un jeune public, où on rit et retrouve une âme d’enfant.
Christian Kazandjian – La Grande Parade.

Il est toujours assez émouvant pour moi d’assister à la restitution de deux années de travail acharné par de jeunes apprentis-comédiens.
Cette deuxième promotion de l’école d’art dramatique du Lucernaire m’a fait penser cette année à un beau magnum de vin de garde, destiné à être bu dans dix ans, mais qu’on ne peut s’empêcher d’ouvrir et de déguster bien avant.
Le nectar est évidemment encore un peu vert, mais l’on sent bien par les notes fruitées qui percent ici et là que la cuvée 2018 est bonne.
Florence Le Corre et Philippe Person ont adapté et mis en scène ce Songe d’une nuit d’été, en mettant l’accent sur la côté charnel, physique de cette comédie du grand William.
Ici, la magie sera avant tout la magie des corps dans l’espace scénique, des corps en interactions les uns les autres, des corps qui s’attirent, se repoussent, se battent, s’étreignent, se caressent et s’embrassent.

Yves Poey – De la cour au jardin

C’est donc à une joyeuse représentation où vous êtes tous conviés laquelle vous fera découvrir les espoirs de demain car n’en doutons pas, si la persévérance s’allie aux dispositions de chacun, la relève est d’évidence assurée, l’Ecole d’Art dramatique du Lucernaire faisant une fois de plus ses preuves ici, grâce aux soins conjugués de Florence le Corre et de Philippe Person.
Simone Alexandre – Theatreauteurs


2017 – LE DINDON de Georges Feydeau

Adaptation : Philippe Person
Mise en scène : Florence Le Corre et Philippe Person
Décor : Vincent Blot
Lumières : Alexandre Dujardin

Avec en alternance : Zoé BENSIMON, Mathieu BONNEFONT, Lucas BOTTINI, Nicolas BOUILLIS, Clémence BRIEND, Emmanuelle CABIN SAINT MARCEL, Cécile CAUBET, Nans GOURGOUSSE, Gloria HERAULT, Eric JULLIARD, Aurélie MAILLOT, Manon MENIN, Julie PACHECO, Pierre-Louis PAILLUSSEAU, Chloé PHILIPPE, Alice PERSAIN, Valentin RAPILLY, Ondine SAVIGNAC, Aurélie TREILHOU, Alexandre ZELENKIN.

Galerie photo :

Extraits de presse :